L’improbabilité de l’être grandit avec l’accroissement des masques de la certitude creusant l’abîme entre un réel d’autant plus rassurant qu’il est pauvre, ne renvoyant qu’à lui-même, et les vertiges d’une plénitude perpétuellement menacée de néant.
il n'y a ni diable ni dieu, pas de magie, ni d'âmes peut-être; même l'esprit est une chimère; il n'y a pas non plus de justice, pas de grandeur, pas même de strict bon sens; tout juste quelques braves types ennuyeux, une poignée de fous merveilleux, de folles délicieuses, et surtout, sur tout, du temps perdu, des merveilles jetées sans espoir à la face risible du non-sens, pour le bonheur de rien...
Ils sont succulents, tes billets, ces jours-ci.
RépondreSupprimermerci bien!:)
SupprimerGuillaume a bien raison.
Supprimerre :)
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