la fascination théorique a pour mission le désinvestissement irrévocable de la fluide économie de l’enfance au profit d’une parenthèse-fantasme syntaxique
il n'y a ni diable ni dieu, pas de magie, ni d'âmes peut-être; même l'esprit est une chimère; il n'y a pas non plus de justice, pas de grandeur, pas même de strict bon sens; tout juste quelques braves types ennuyeux, une poignée de fous merveilleux, de folles délicieuses, et surtout, sur tout, du temps perdu, des merveilles jetées sans espoir à la face risible du non-sens, pour le bonheur de rien...
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C'est étonnant , vu d'ici, on dirait que cette toile bouge comme si elle était agie de l'intérieur, la lumière sans doute, je sens un coeur qui bat dedans, une paire d'yeux qui scrutent le monde intensément...
RépondreSupprimerParenthèse-fantasme syntaxique? Là suis dépassée par l'événement!
:-)
: )
SupprimerC'est ton dessin ? C'est crissement chaud.
RépondreSupprimerouaip, c'est de l'acrylique sur toile en fait.
SupprimerOn dirait de l'aquarelle sur ce coup-ci même l'illusion du papier y est. Ce sont des émotions lourdes pour moi. Oufs! Tristesse infinie, prison, état stagnant, impuissance, enfance. C'est ce qui remonte. Bravo. Ça m'a shaké.
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