il n'y a ni diable ni dieu, pas de magie, ni d'âmes peut-être; même l'esprit est une chimère; il n'y a pas non plus de justice, pas de grandeur, pas même de strict bon sens; tout juste quelques braves types ennuyeux, une poignée de fous merveilleux, de folles délicieuses, et surtout, sur tout, du temps perdu, des merveilles jetées sans espoir à la face risible du non-sens, pour le bonheur de rien...
Oui. Y'a une justesse dans cet oeuvre... scindée. Le haut du corps et le bas du corps. La tête et les émotions. Impossible à se vivre bien qu'inévitable. J'aime beaucoup.
Il y a notre arrivée, notre départ, nos saisons dans ton tableau et puis ces couleurs de la solitude ontique qui est, quoiqu'on fasse notre lot, identité et destin. J'aime ton aphorisme et son paradoxe vrai. Dialectique.Merci, cher ami.
Corps plut^to décharné, est-il à l'image de la solitude en face de la mort ? Tes mots me percent dans ma réflexion du jour, "Je et cent mille". Une réflexion sur soi et les autres lue par ici:
"Nous pensons 22h sur 24h aux autres. Je est, en fait, mille autres." http://techniciencoiffeur.blogvie.com/
D'où cette solitude inévitable, d'où aussi l'impossible solitude.
Je garde ton tableau dans ma caboche, les mots viendront.
Oui. Y'a une justesse dans cet oeuvre... scindée. Le haut du corps et le bas du corps. La tête et les émotions. Impossible à se vivre bien qu'inévitable. J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerIl y a notre arrivée, notre départ, nos saisons dans ton tableau et puis ces couleurs de la solitude ontique qui est, quoiqu'on fasse notre lot, identité et destin. J'aime ton aphorisme et son paradoxe vrai. Dialectique.Merci, cher ami.
RépondreSupprimerMerci à toi, cher Mokhtar, pour cette fine lecture.
SupprimerJ'adore !
RépondreSupprimerCorps plut^to décharné, est-il à l'image de la solitude en face de la mort ?
RépondreSupprimerTes mots me percent dans ma réflexion du jour, "Je et cent mille".
Une réflexion sur soi et les autres lue par ici:
"Nous pensons 22h sur 24h aux autres. Je est, en fait, mille autres."
http://techniciencoiffeur.blogvie.com/
D'où cette solitude inévitable, d'où aussi l'impossible solitude.
Je garde ton tableau dans ma caboche, les mots viendront.
Ah, merci Laure! Tu me fais découvrir un autre blogueur dont la réflexion rejoint effectivement la mienne.
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