mercredi 20 mars 2013

La membrane qui isole et qui unit


6 commentaires:

  1. Oui. Y'a une justesse dans cet oeuvre... scindée. Le haut du corps et le bas du corps. La tête et les émotions. Impossible à se vivre bien qu'inévitable. J'aime beaucoup.

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  2. Il y a notre arrivée, notre départ, nos saisons dans ton tableau et puis ces couleurs de la solitude ontique qui est, quoiqu'on fasse notre lot, identité et destin. J'aime ton aphorisme et son paradoxe vrai. Dialectique.Merci, cher ami.

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    1. Merci à toi, cher Mokhtar, pour cette fine lecture.

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  3. Corps plut^to décharné, est-il à l'image de la solitude en face de la mort ?
    Tes mots me percent dans ma réflexion du jour, "Je et cent mille".
    Une réflexion sur soi et les autres lue par ici:

    "Nous pensons 22h sur 24h aux autres. Je est, en fait, mille autres."
    http://techniciencoiffeur.blogvie.com/

    D'où cette solitude inévitable, d'où aussi l'impossible solitude.

    Je garde ton tableau dans ma caboche, les mots viendront.

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    1. Ah, merci Laure! Tu me fais découvrir un autre blogueur dont la réflexion rejoint effectivement la mienne.

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