il n'y a ni diable ni dieu, pas de magie, ni d'âmes peut-être; même l'esprit est une chimère; il n'y a pas non plus de justice, pas de grandeur, pas même de strict bon sens; tout juste quelques braves types ennuyeux, une poignée de fous merveilleux, de folles délicieuses, et surtout, sur tout, du temps perdu, des merveilles jetées sans espoir à la face risible du non-sens, pour le bonheur de rien...
samedi 7 septembre 2013
La mince frontière entre expressionnisme et nombrilisme
En art, s’exprimer ne veut rien dire, seule compte la création d’un monde où l’on puisse entrer...
L'homme... dans cette lumière... va-t-il encore me faire monter à bord de son vaisseau ?
RépondreSupprimerIntéressante, ton idée ! Il faut être, ironiquement, tout bonnement, tout férocement soi-même pour qu'autrui veuille entrer.
Pas faux. Et je parlerais même que l'artiste est le médium de ce monde parallèle. L'oeuvre, le témoin du voyage.
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