samedi 26 octobre 2013

Utiliser le mystère de la passion sans souffrir la moindre redite

À la recherche du spectacle (para)normal des recyclages distingués, je n’appartiendrai au remue-ménage du monde qu’en débordant de l’obscurité des distributeurs de savoir.

J’avance donc, tournant le dos à l’infâme dissolution de l’imaginaire, presque héroïque, anachronique brûlant quêteur d’éternité consolatrice.



3 commentaires:

  1. Le savoir du monde, nous le portons en nous. Une mémoire cellulaire créatrice pour le reste, le savoir des institutions ne sont qu'aliénations. Couleurs orientales, trait calligraphique. Lumière qui happe en son centre comme un trou noir mais inversé. Enfin... je délire mais elle me fait du bien ta peinture. Elle régénère l'énergie. Merci. Je crois que les artistes dans cette période critique de l'humanité, doivent créer de la lumière peut importe. Je suis loin du trip mystique, je déteste les groupes mais en dedans, c'est ce que ça me dit. Et je trouve cela bien curieux. Bonne journée.

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    1. heureux délire... si c'en est un!:)

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    2. Non c ' est pas un délire - Folie disent-ils , que ceux qui ne comprennent pas - et surtout qui rejettent - violemment !!!
      Quant à la passion , son mystère nous ferait presque parfois croire qu ' elle accepterait la redite -
      Nous voyons bien que c ' est là qu ' elle se meurt !
      C ' est que la passion ne peut vivre sans retour -
      La passion , comme l ' amour , ( et comme le désir ) , ne peut exister que quand elle est partagée , échangée , qu ' elle devient un trésor mutuel - et personnel -
      mmmmmmmm !!
      Vive la passion !!!

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