samedi 9 février 2013

à première vue


la fascination théorique a pour mission le désinvestissement irrévocable de la fluide économie de l’enfance au profit d’une parenthèse-fantasme syntaxique



5 commentaires:

  1. C'est étonnant , vu d'ici, on dirait que cette toile bouge comme si elle était agie de l'intérieur, la lumière sans doute, je sens un coeur qui bat dedans, une paire d'yeux qui scrutent le monde intensément...
    Parenthèse-fantasme syntaxique? Là suis dépassée par l'événement!
    :-)

    RépondreSupprimer
  2. On dirait de l'aquarelle sur ce coup-ci même l'illusion du papier y est. Ce sont des émotions lourdes pour moi. Oufs! Tristesse infinie, prison, état stagnant, impuissance, enfance. C'est ce qui remonte. Bravo. Ça m'a shaké.

    RépondreSupprimer