samedi 28 juin 2014

Rumination embryonnaire



un salaud en herbe
ménageant ses effets
broute sans rancune
dans l’utérus d’une mère
assise de l’autre côté
de ses scrupules

4 commentaires:

  1. 48 ans plus tard, enfin tout sur la reproduction des Shadoks...

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    1. :)))
      c’est bien inconsciemment en plus... puisque je ne connaissais pas ces charmantes petites bêtes; merci pour cette savoureuse découverte!

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  2. J'ai bien aimé ce poème ! C'est drôle, juste avant de le lire, j'avais écrit un truc qui parlait d'un salaud ayant la tête dans l'abdomen d'une femme.

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    1. bon ben coudon, c’est rendu que je fais aussi (toujours inconsciemment) de la poésie synchronistique astheure! :)

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