vendredi 8 août 2014

Ben non, ben non, c’est pas si dur que ça le français…

À toutes les Julie de notre Bô Kébec :

Aruspices atrabilaires, laudatrices d’entéléchie cacochyme, cénotaphes à colifichets, votre empyrée anacréontique, mithridatisme apagogique, palinodie de prosélytes décavées, galimafrée de sybarites melliflues, ça fait un osti d’boutte qu’on essaye de nous le passer.

Mais ça s’adonne que des pas fatigués d’être ce qu’ils sont, de parler cette langue unique qui les distingue, les définit, y en reste encore. Pis pour longtemps!

How much is this? Trop pour vous autres? Pas de problème. Passez votre chemin! D’autres exprimeront à votre place ce qui vous restera dans la gorge au moment où vous en aurez le plus besoin.

(Who the fuck cares about it anyway?)

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